• 23sept

    “Home” de Yann Arthus-Bertrand : un documentaire

    splendide !

    27 juin 2017

    Home est un film documentaire sorti en 2009, écrit et réalisé par Yann Arthus-Bertrand et produit par Luc Besson. Ce film de 1h30 développe le lien qui unit l’homme à la Terre. Conçu comme un carnet de voyages, il est constitué uniquement d’images aériennes et d’une voix off.

    Home nous présente l’état de la Terre vue du ciel, il montre la pression que l’homme fait subir à l’environnement et les conséquences que cela entraîne sur le changement climatique. Yann Arthus-Bertrand ne le présente pas comme un film catastrophe mais comme un message d’espoir, en rappelant qu’il reste dix ans pour agir. Les thèmes abordés sont tous en relation avec l’environnement : le manque d’eau, la déforestation, la fonte des glaces ou encore l’épuisement des ressources naturelles…
    Des images sublimes à voir ou à revoir sans modération !

    HOME

  • 23sept
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    A regarder pour élargir son esprit !

    Un film de Yann Arthus-bertrand

    http://www.human-themovie.org/

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  • 07juin
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    Un deuxième Tchernobyl impensable? Plus maintenant…

    En avril 1986, les Japonais ne cachaient pas leur peur: un accident atomique du type de celui de Tchernobyl ne risquait-il pas de se produire au Japon? “Impensable”, répondaient les autorités qui plaidaient pour un usage croissant de l’énergie nucléaire. Mais l’accident de Fukushima a prouvé que ces craintes étaient justifiées.

    Dans un article du quotidien Asahi du 30 avril 1986, les autorités nippones affirmaient que “le réacteur de Tchernobyl est d’un type soviétique particulier qui n’existe pas dans l’archipel où les modèles sont conçus avec deux ou trois systèmes de sécurité”. A l’époque, le Japon comptait 32 réacteurs actifs, la 4e capacité de production au monde, derrière les Etats-Unis, la France et l’URSS.

    “Lorsqu’aux environs de 1967, le Japon a étudié l’introduction d’une nouvelle génération de réacteurs, les propositions russes ont été écartées pour cause d’absence de garantie sur la sûreté”, soulignait fin avril 1986 le journal économique Nikkei. Au Japon, après un an d’utilisation, “les réacteurs sont arrêtés durant trois mois pour contrôle” et “le Japon, comparé aux autres nations, prête une grande attention à la sécurité”, insistait le gouvernement.

    “Pas de fuites radioactives possibles!”

    Une quinzaine de jours après l’explosion à Tchernobyl, diverses organisations nippones exigeaient pourtant “l’arrêt de toutes les centrales atomiques du pays”. “Même en supposant qu’un gros problème survienne dans un réacteur au Japon, il n’y aura pas de fuite radioactive à l’extérieur du site”, tentait simultanément de rassurer le pouvoir, selon les propos rapportés par la presse de l’époque.

    Pour la télévision publique nippone NHK, dès fin avril 1986, il était quasi certain que Tchernobyl resterait “le plus grave accident nucléaire de l’histoire”. Vingt-cinq ans plus tard, les craintes sont réapparues. Les autorités japonaises viennent d’élever au niveau 7 sur l’échelle internationale des événements nucléaires (INES) la gravité de l’accident survenu à la centrale de Fukushima (nord-est de l’archipel) depuis le séisme et le tsunami du 11 mars.

    C’est-à-dire “au même rang que celui de Tchernobyl”, ont immédiatement relevé tous les journaux nippons. Bien que les causes et effets des deux catastrophes soient difficilement comparables, dans l’imaginaire collectif, l’assimilation avec Tchernobyl fait ressurgir l’expression “mort par irradiation”, les photos de régions désertées, contaminées pour des décennies, les chiffres de milliers de personnes soumises à des doses inadmissibles de radioactivité, les probabilités de cancer.

    55 réacteurs au Japon

    La hantise est d’autant plus forte qu’entre 1986 et 2011, le nombre de réacteurs n’a cessé d’augmenter dans l’archipel, conformément au plan énergétique à long terme préparé dès 1987, et qui prévoyait un doublement de la puissance électrique issue d’installations nucléaires à l’horizon 2000.

    On dénombre actuellement 55 réacteurs, bien que le Japon ait entretemps connu plusieurs problèmes, dont un critique en 1999 à Tokai-mura (moins de 150 km au nord-est de Tokyo), à la suite d’une mauvaise manipulation. “L’accident de Fukushima va nécessairement rouvrir le débat au Japon et modifier l’avenir de l’énergie nucléaire, c’est certain”, assure un spécialiste du secteur. Et d’ajouter que “les projets de 14 réacteurs supplémentaires d’ici à 2030 sont susceptibles d’être remis en cause”.

    Il faudra placer judicieusement le curseur, sachant que “le Japon a besoin d’énergie et que les fondamentaux sont toujours les mêmes: pas de ressources fossiles et obligation de diminuer les émissions de CO2″, rappelle un industriel, selon qui “l’électricité d’origine nucléaire ne sera pas abandonnée dans l’archipel”. (afp)

    26/04/11 10h48
  • 22mar

    Un documentaire de Marie-Monique ROBIN édifiant ! “a voir et revoir”

    https://www.mariemoniquerobin.com/monsantosynopsis.html

    https://vimeo.com/207355424

    Plan du docu
    1 : les pesticides et les insecticides autrement gentiment appelés : produits phyto sanitaires
    2. l’aspartame lancé dans les années 80 aux US.
    Les résultats d’analyse effectués dans un labo indépendant de Bologne sont édifiants : chair de poule assurée
    Propos d’un chercheur indépendant : tous les résultats d’analyses effectuées par des labo indépendants font état de la nocivité de cette cochonnerie. Tous les résultats d’analyses effectuées par des labo en rapport avec l’industrie de l’aspartame disent le contraire. C’est dingue, non ?
    3. le biphénol

    Toute cette longue enquête est saupoudrée de la mauvaise foi notable des personnes représentant les grandes agences sanitaires, alimentaires nationales, européennes et américaines.

    Dans le même souci d’informer, France 3 avait diffusé le 16 février dernier
    Manger peut-il nuire à la santé ?
    http://programmes.france3.fr/documentaires/index-fr.php?page=documentaires-archives-articles-detailles3&id_article=980
    Il était question du pain, du porc, du saumon, etc. édifiant !

    Résultat : faire ses courses relèvent de l’investigation : lecture attentive des étiquettes, provenance des aliments, etc.
    Quelques relevés persos incongrus au gré de ma lente progression dans les rayons des magasins :
    - de la gélatine de porc dans les yaourts allégés
    - de l’huile de soja hydrogénée dans un médicament quand ce n’est pas de l’aspartame dans d’autres comme l’Exomuc
    - huile de palme un peu partout : http://www.greenthefilm.com/?lang=fr
    docu à voir sur les effets de la déforestation en Indonésie
    et autres huiles dans les céréales du petit déj
    - composition d’un beurre allégé : prendre ses jambes à son cou !!!!
    - et bien sûr tous les trucs déjà préparés : comme le tiramisu de Picard, les carottes râpées toute prêtes sous plastiques, etc.

    Sans transition … ?

  • 28juil
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    Le patron de BP quitte le navire. A compté du 1er octobre Tony Hayward sera remplacé par l’américain Robert Dudley, L’homme qui dirige depuis le mois de juin les opérations de lutte contre la pollution dans le golfe du Mexique.
    Après sa gestion calamiteuse de la marée noire, Tony Hayward, surnommé « Tony la gaffe », ne part pas les poches vides. Son parachute doré s’élève à plus d’un million d’euros. Il devrait par ailleurs se voir offrir un emploi chez TNK-BP, une co-entreprise de BP en Russie. Pourtant Tony Hayward laisse derrière lui un groupe pétrolier qui a perdu 40 % de sa valeur en bourse.

    L’après marée noire
    Nouveau patron, nouvelle stratégie. Le futur directeur général de BP a d’ores et déjà annoncé la couleur « Le groupe va devoir changer de culture » a prévenu Robert Dudley. Mais pour l’instant sa priorité numéro 1 reste la lutte contre la marée noire « Ce qui figure en tête de mon agenda c’est de m’assurer que nous allons sceller ce puits, limiter la marée noire, nettoyer les plages, remettre sur pied le golfe. »

    Restaurer la confiance
    Après une série d’échecs le pétrole continue de se répandre à flot dans le golfe du Mexique. Dans les prochains jours BP veut entamer les travaux de colmatage définitif avec un coffrage long de 600 mètres.

    Perte d’autonomie
    En attendant l’après-crise l’entreprise britannique cherche des solutions pour financer la catastrophe. Le géant pétrolier a dû céder des actifs. Il a vendu à son concurrent américain Apache pour 7 milliards de dollars d’actifs. Une somme qui doit lui permettre de financer une partie des 20 milliards de dollars destinés aux victimes de la catastrophe. Ce fonds a été mis en place sous la pression du gouvernement américain.
    BP a également dû céder des activités au Vietnam et au Pakistan pour 1,7 milliard de dollars.

    Environnement, économie, la marée noire a aussi un coût humain. La perte d’activité risque de se traduire d’ici la fin de l’année par la disparition de 17.000 emplois dans la région du golfe estime l’agence de notation Moody’s.

    Arte Journal, le 27.07.2010

  • 19juil


    Les produits désignés comme « pesticides » par le grand public sont des produits qui ont pour fonction de détruire les organismes pouvant nuire aux plantes. Ils affectent la quantité et la qualité des productions agricoles.

    Les professionnels utilisant ces produits (ex : agriculteurs) les désignent sous le terme de « produits phytosanitaires », tandis que les textes réglementaires utilisent le terme de « produits phytopharmaceutiques ».

    Trois principales catégories de pesticides sont utilisées par les jardiniers amateurs :
    *les herbicides : contre les mauvaises herbes
    *les fongicides : contre les champignons
    *les insecticides : contre les insectes

    La plupart des pesticides ne sont pas sélectifs et ont de véritables conséquences sur la biodiversité. Autrement dit, en utilisant des produit chimiques pour traiter un problème, on porte atteinte au bon fonctionnement du jardin : élimination d’insectes utiles pour la pollinisation des fleurs, plantes ou des insectes auxiliaires naturels de culture, dégradation de la qualité des sols, fragilisation de la plante elle-même, etc. C’est tout l’équilibre de la nature qui est bousculé.

    lire la suite sur le site du Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la mer. En charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat

  • 01juil
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    Voici un lien vers le blog de France3 “Pièces à conviction” où vous pouvez revoir l’émission
    Un sujet très intéressant sur le « made in France »qui est aussi victime des dérives de l’industrialisation et de l’élevage intensif. Nos porcs et nos poulets sont souvent dopés aux antibiotiques en dépit de la loi et nos poissons frais gorgés de produits polluants.

    Lien vers le Blog Pièces à conviction

  • 27juin
    Categories: Eau, Reflexions Comments: 0


    Un joyau en péril

    Des menaces grandissantes pèsent sur les ressources en eau douce. La croissance démographique, l’intensification des activités économiques et l’amélioration générale du niveau de vie se sont traduits par un renforcement de la concurrence pour cette ressource limitée et par l’intensification des conflits d’usages au détriment des écosystèmes.

    La préoccupation des hommes pour leur environnement est relativement nouvelle. Jusqu’au tout récent sursaut de conscience qui nous agite aujourd’hui, l’humanité a usé de la nature, allègrement et sans compter, aménageant largement les cours d’eau, rejetant sans scrupules effluents et déchets et drainant sans complexe et de façon systématique les zones humides.

    Les fleuves et les rivières comptent parmi les milieux ayant le plus souffert des activités de l’homme. 25% des cours d’eau d’Europe occidentale et méridionale sont pollués à un niveau extrême. 50% des zones humides françaises ont disparu au cours des 30 dernières années. Depuis 20 ans, les eaux brutes, c’est à dire les eaux qui n’ont pas été « potabilisées » pour la consommation humaine, se dégradent de façon inquiétante. En cause : une politique agricole productiviste abusant des nitrates et des pesticides, la violation des réglementations en vigueur, un immense laxisme vis-à-vis du respect des seuils de production industrielle autorisés, une police de l’eau déficiente…

  • 27juin
    Categories: Air Comments: 0

    plaquette

    L’air constitue le premier des éléments nécessaires à la vie. Chaque jour, environ 15 000 litres d’air transitent par nos voies respiratoires.

    L’homme introduit dans l’atmosphère des substances ayant des conséquences préjudiciables à la santé et à l’environnement. Ces éléments perturbateurs sont émis par des sources fixes ou mobiles : installations de combustion, activités domestiques, industrielles, agricoles, transport des personnes et des marchandises…

    Les effets de la pollution de l’air se manifestent à tous les niveaux : à l’intérieur des locaux (cuisinières à gaz, revêtements de sol…, le tabagisme joue ici un rôle particulier et important), à l’échelle locale (environnements urbains et industriels), régionale et continentale (pollution photochimique par l’ozone, pluies acides…) ou planétaire (effet de serre…).
    Plaquette d’informations AIR FLYER recto à lire en pdf
    Plaquette AIR FLYER verso à lire en pdf

    lien Air Quality Europe

  • 27juin
    Categories: Eau Comments: 0

    Par Josselin Renaud. Publiée le 19 mai 2010 à 15:10 dans Actualité de l’eau et de l’alimentation

    40 millions de Français boivent régulièrement de l’eau du robinet. Un documentaire d’investigation diffusé lundi sur France 3 révèle que cette eau potable serait souvent contaminée. Pire encore, les pouvoirs publics, conscients de cette pollution, resteraient passifs. Face à ces accusations, l’Etat se veut rassurant.
    Boire l’eau du robinet

    Sophie Le Gall est la réalisatrice du documentaire “Du poison dans l’eau du robinet”, diffusé lundi soir sur France 3. Elle a enquêté durant 8 mois à travers la France sur la qualité de l’eau potable distribuée aux français. Ses analyses et interviews de scientifiques apportent des preuves de la contamination de l’eau potable aux polluants chimiques dans plusieurs départements, notamment l’Auvergne, la Normandie ou encore la Charente.

    Sans le savoir, des millions de consommateurs boivent une eau trop chargée en polluants. Parfois, elle est même non-conforme aux normes de précautions sanitaires européennes.

    Distribuée en toute conscience

    Un quart de la population française boirait une eau traitée avec de la poudre d’aluminium susceptible de favoriser la maladie d’Alzheimer. Les grandes compagnies et les collectivités ajoutent ce toxique à l’eau pour la rendre plus limpide : une pratique considérée par les scientifiques comme risquée si les normes sanitaires ne sont pas respectées.

    A St-Brieuc (22), St-Nazaire (44) ou encore St-Etienne (42), les doses de toxicité dépasseraient de 2 à 4 fois, la norme fixée par l’Europe (200 mg/litre). L’eau provenant du robinet serait un véritable cocktail chimique dans des communes d’Eure-et-Loir ou de Seine-et-Marne.

    La forte présence de polluants agricoles rend sa consommation dangereuse pour les femmes enceintes et les jeunes enfants. Selon le documentaire, près de 5 millions de Français auraient bu en 2008 au moins une fois de l’eau non-conforme en pesticides et nitrates. Des doses élevées de radon, gaz hautement radioactif et cancérigène, ont aussi été détectées dans de l’eau potable en Haute-Vienne.

    Le reportage met enfin l’accent sur les médicaments, responsables d’une pollution encore méconnue mais présente depuis des années. L’eau du robinet et les cours d’eau contiennent de nombreux résidus de molécules pharmaceutiques. Ces polluants nouvellement détectés sont l’objet de recherches pour établir leur toxicité.

    Pour la réalisatrice, les pouvoirs publics minimiseraient et fermeraient les yeux sur l’ampleur de la pollution. Les collectivités et certaines grandes compagnies de distribution ne souhaiteraient pas de nouvelles règles les contraignant à de lourds investissements. Elles continueraient donc à distribuer en toute conscience ou sans le savoir, une eau non conforme.

    Comme un signal, la Cour des Comptes a d’ailleurs épinglé dans son rapport 2010 la mauvaise gestion de l’eau en France. Elle considère la politique mise en oeuvre inefficace, pour atteindre les objectifs de qualité imposés par le Grenelle de l’environnement.

    L’Etat rassure

    Suite à la diffusion du reportage, les ministères de l’écologie, de la santé et le Centre d’Information de l’Eau ont tenu à rassurer.

    “Les Français peuvent maintenir leur confiance dans la qualité de l’eau du robinet. Plus de 310 000 contrôles sont effectués par an, à chaque stade du circuit de l’eau. Si le problème de pollution des ressources est indéniable et que des efforts restent à faire, rien ne justifie de fustiger l’un des produits alimentaires les plus contrôlés en France ni d’aiguiser, à tort, la peur des consommateurs” affirment-ils.